Le blog qui s'amuse sérieusement à n'y rien comprendre.

vendredi 4 avril 2008

Peinture d'Albretch Dürer ( 1471 - 1528 ) Nuremberg.

Je m'étonne de parler de Montreuil et non de Montreuil-sous-bois car même si depuis longtemps il n' y a plus de forêt, il m'importe toujours de savoir d'où nous venons.
Des bois et de la rurarilité il en reste maintes traces figurées dans de nombreux parcs, chemins de traverses et terrains de la ville.
Il est vrai que la chaux se répend ensuite sur les champs
de l'histoire et la ville respire l'odeur acre de la sueur ouvrière mellée des suies d'usines.
N'as t-on jamais dit Montreuil-sous-sueur ou Montreuil-sur-larmes tant les batailles ne se règlent jamais, vraiment. Elles s'atténuent.
J'oublie les douleurs et j'aime cette idée désuète et romantique de la nature. J'écris ton nom Montreuil-sous-bois. Comme tout le monde. J'aime la ville teinté de vert en quelques sortes.

Je ne suis pas réfractaire à l'image de ce peintre majeur de l'utopie néoplastique des années 30.
Piet Mondrian transcenda la perfection de nature en une abstraction réduite à l'expression orthogonale des trois couleurs primaires, le rouge, le bleu et le jaune, cernées de noirs sur des toiles aux fond blanc. Ce peintre qui par excès d'urbanité ne se plaçait jamais devant une fenêtre, contrarié de la terrible couleur à ses yeux : le vert. Et si la vie est une belle et vilaine comédie théâtrale
se n'est pas une raison de ne pas aimer la couleur maudite. L'interdiction du vert sur scène serait conséquente à la toxicité des oxydation de cuivre et de cyanure composant les teintures des costumes de comédiens. En tous les cas jusqu'à l'exploitation de la chimie industrielle pour la fabrication des colorants, le vert était aussi instable que le jaune. Le jaune qui dans la tradition ouvrière d'une ville comme Montreuil-sous-couleurs est un briseur de grève, un renégat.

mercredi 2 avril 2008


Sauvez le monde !
Moi aussi j'aime les pandas …

mardi 1 avril 2008

Bienvenue chez les pyromanes …

Faut bien qu'ça colle aux … actualités !

Après l'affaire du foulard voici celle de la banderolle …
Les artistes du Président se mobilisent.
Bienvenue les faux-culs : Il fût un temps où Sarkozy avec ses chiards, se vantaient à la TV d'être suporter du PSG, mais en ce temps là les tribunes du Kop de Boulogne étaient un havre de paix et de franches rigolades juvéniles sympatiques.